Parallèlement à mon activité professionnelle à l’étranger dans le domaine de la coopération linguistique et éducative, j’ai mené entre octobre 2014 et novembre 2018 une recherche doctorale [1] en didactique des langues et des cultures.
Sur le plan méthodologique, j’ai notamment choisi de développer un carnet de thèse numérique (http://atelit.hypotheses.org/) dont l’utilité première aura été de m’aider à trouver une voie/voix propre dans cette recherche consacrée aux ateliers du dire en langues(s) étrangères(s). Ouvert sur la plateforme collaborative hypotheses.org dédiée à la recherche en sciences humaines et sociales, ce carnet de thèse avait aussi pour ambition de donner à voir et à lire mon travail de documentation, de réflexion et d’écriture. Au terme de la recherche, ce carnet inclut dans sa forme finale une description évolutive de mon projet de thèse, un lien vers ma bibliographie finale, un journal de bord, un carnet de lectures, des notes tout-terrain, un cahier de prises de voix. De nombreux commentaires de mon directeur de thèse, M. Serge Martin, viennent étoffer certaines publications.
Je souhaite que ce carnet puisse continuer à intéresser tout à la fois mes collègues doctorants, enseignants ou formateurs (FLE, FLM, littératures), mais aussi éventuellement les responsables pédagogiques, les animateurs d’ateliers d’écriture ou encore toute personne engagée par sa pratique ou sa recherche dans des questionnements sur les dispositifs d’ateliers ou toute autre expérience langagière novatrice conduite en contexte d’apprentissage, de formation ou d’insertion.
Si l’aventure de ce carnet Atelit s’arrête avec la publication en ligne de ma thèse de doctorat, je compte poursuivre l’écriture de carnet(s) sur le blog du REDILA et aussi sur un nouveau carnet personnel à découvrir prochainement et qui aura vocation à rassembler un certain nombre d’informations et de billets sur les ateliers du dire.
En espérant que chaque lecteur puisse trouver dans l’un ou l’autre de ces carnets des idées, des ressources ou des références susceptibles de nourrir ses propres recherches ou pratiques.
OM